Les Echos, Le Parisien, La Provence, Europe-1, Paris-Match, et bien sûr Le Journal du Dimanche…
Cette année, la liste des rédactions mises au pas ou en conflit direct avec un milliardaire est impressionnante. Qu’on se le dise, l’ombre de Vincent Bolloré sur ce triste tableau de chasse n’est que l’expression la plus brutale d’un système qui traite l’information comme une marchandise.
L’absence de réponse politique à la mesure de cette situation doit nous mettre en garde : s’indigner ne suffit plus.
Il faut agir.
Au même titre que : le climat, l’anti-racisme, le féminisme, la précarité, la lutte contre l’extrême droite et les violences policières… L’indépendance de l’information doit devenir l’un des fronts de la mobilisation citoyenne.
La liberté d’opinion est une farce si l’information n’est pas indépendante des États, des puissances d’argent et des influences étrangères.
Heureusement, une alternative existe : la presse indépendante et le Fonds pour une Presse Libre (FPL).
Accéder au site de la campagne de financement
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